Après avoir plié Monster Hunter World, j’ai décidé de changer radicalement d’univers en me lançant dans le trophée platine de Burnout Paradise Remastered, le fameux remake du 1er jeu que j’ai platiné en 2008 !

Impressions sur le jeu : 
Titre marquant de l’époque PS360, Burnout Paradise Remastered est de retour sur new gen dans une version remastérisée avec des graphismes retravaillés et tous les DLC sorties à l’époque. Bien qu’étant ultra populaire, la saga Burnout n’a eu le droit qu’à un seul jeu en 10 ans ! Alors, j’ai accueilli ce remaster avec beaucoup de joie en espérant voir un vrai nouvel épisode un jour… Le jeu est toujours aussi grisant et il n’a (presque) pas vieilli. Les courses sont toujours aussi grisante, les crashs aussi violant et les sensations sont au rendez-vous. Cette nouvelle version aurait presque était parfaite si les temps de chargement et les menus avaient été retravaillés. En tous les cas, c’est une valeur sure que vous pouvez acheter les yeux fermés.

Difficulté du trophée platine : 
Avec la disponibilité des voitures de légende dès le début du jeu, la difficulté de ce trophée platine n’est pas bien élevée. C’est amusant de voir que 10 ans plus tard, je me souvenais très bien de la map de Paradise City. Tout se torche très rapidement à moins d’être une buse en se trompant de chemin ou bien en jouant un peu trop aux autos-tamponneuses. La seule petite difficulté vient des trophées en ligne (merci à Bencapone pour le coup de main !) et surtout celui « Rencontre à 8 joueurs au Wildcats Baseball Stadium ». Il m’a fallu 15h pour en venir à bout soit 5 de moins qu’il y a 10 ans

Guides, trucs et astuces :
– Il n’y a pas vraiment besoin d’utiliser un guide pour ce jeu mais au cas ou, je vous recommande celui de PSTHC. Je l’ai consulté uniquement pour les parkings. 
– J’ai fait tout le jeu avec la Carson GT Nighthawk, elle est un peu rigide mais sinon c’est une bonne caisse résistante et avec un très bon boost. 
– Si vous perdez une course n’oubliez pas que vous pouvez la relancer immédiatement via le menu rapide (flèche) c’est un énorme gain de temps et un tips dont je me suis souvenu 
– En cours ou en route libre, foncez sur tous les panneaux rouges et les barrières jaunes, ça vous évitera de longues sessions de farming
– Le jeu est double platinable ! Version EU et version US !

Conclusion : 
Ce retour à Paradise City avait doux parfums de nostalgie et j’ai pris beaucoup de plaisir à platiner cette version remaster. Elle comporte tellement de DLC que je suis encore loin des 100%. J’y referai un tour de temps en temps. Mais avant, je vais me procurer la version US de Burnout Paradise Remastered

6 Commentaires

  1. Merci à toi pour cette review !
    Tu conseillerais ce jeu à ceux ayant saigné Burnout Paradise sur Ps3 (avec les motos et les tows car) ?

  2. Je n’ai pas du tout aimé ce burnout. Pourtant fan de la série, celui-ci m’a laissé de marbre. Après takedown, il était dur de faire mieux selon moi.

  3. Quand je vois comme certains (dont toi) ont galeré pour le trophée à 8, je me dis que j’ai eu du bol, j’étais l’hôte de la session et en insistant bien c’était plié en 15 minutes.

    Par contre sur Ps3, après plusieurs heures je m’étais résigné à le booster avec la communauté Pstrophees.fr (disparue depuis).

  4. je suis dessus.
    J’ai trouvé que les permis allaient beaucoup plus vite que sur PS3. j’ai donc regardé et effectivement, sur PS3 il demande d’avoir le permis Elite en plus composé de 57 épreuves et 33 épreuves pour le permis A. A comparer sur la version PS4 qui ne demande que le permis A au maximum pour 40 epreuves.
    C’est vrai que c’est largement plus simple. il me manque que les trophées en ligne en 8h de jeu (et les DLC off course)

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